Expert en bâtiment

Expertise fissures

Expertise bâtiment, Expertise fissures, Expertise sécheresse

Expertise sinistre sécheresse en Essonne 91240

La présente note d’expertise a pour objet d’informer sur l’état actuel du dossier. Elle ne préjuge en rien des conclusions que l’expert signataire pourrait être amené à déposer ultérieurement. Elle est consécutive à : – Date du sinistre 01/08/2018 – une mission reçue le 16/08/2019 – la réunion d’expertise du 09/12/2019 – l’inspection télévisée du 10/03/2020 – l’étude de sol du 29/04/2020 Description de l’environnement Topographie du terrain : plat x Terrain d’assise des fondations : naturel x Nature du sol de fondation : Non investigué, présomption d’argiles x Importance de la dessiccation des sols de surface en été : non x Collecte des eaux pluviales : vers collecteur public x Réseau d’évacuation des eaux pluviales : absence de regard de pied de chute, canalisations enterrées non investiguées x Collecte des eaux usées : vers collecteur public x Alimentation en eau courante : non fuyardes x Autres construction sinistrées dans les environs : oui x Travaux d’infrastructures récents à proximité : sans objet x Type de végétation et distance par rapport aux ouvrages sinistrés Nous relevons la présence d’une végétation dense Description du bâtiment Infrastructures – Type et nature des fondations : semelles filantes – Soubassement : pierre meulière – Dallage béton sur hérisson et terre-plein Superstructures – Nature du plancher haut du rez-de-chaussée : bois – Sens de portée des planchers : – Elévations : meulières – Localisation des chaînages horizontaux : en périphérie du plancher hourdis – Localisation des chaînages verticaux : absence – Drainages périphériques : Non – Trottoirs : sur remblai non solidaire du bâti – Terrasse surélevée : sur remblai non solidaire du bâti CLOS ET COUVERT – Charpente : bois traditionnelle – Couverture : tuiles canal – Menuiseries extérieures : PVC – Enduit de façade : pierres apparentes SECOND OEUVRE – Plafonds : placoplâtre – Cloisons : placoplâtre – Doublage : placopâtre + laine de verre – Carrelage : Collé – Chauffage : Central au gaz – Ventilation : VMC – Isolation en toiture : laine de verre Relevé des désordres Fissure sur angle bas droit de la fenêtre de 4 à 2 mm en pied de mur. Sur l’angle bas gauche, fissure verticale de 5 mm et 0.2mm au niveau de l’angle de l’habitation. Sur l’angle haut gauche de la même fenêtre, fissure verticale d’environ 3 mm. Fissure sur l’angle bas droit de la fenêtre de l’étage de l’ordre de 3mm. Fissure verticale sur le bas droit de la fenêtre de 0.4 mm et microfissure en pied de mur. Sur le garage non attenant à l’habitation, nous relevons des fissures structurelles marquant la fragilité de l’ouvrage. Sur la façade arrière, nous relevons la présence de nombreuses microfissures. Nous rappelons que cette partie de l’habitation ne présente pas de sous-sol. Concernant les dommages en façade arrière, aucune fuite n’a été repérée sur les réseaux à proximité de l’habitation. Le réseau traversant l’habitation, tronçon 2, ne présente pas de dommage. Le réseau T1, traversant une zone arborée présente également peu de dommage. Concernant la façade avant, l’ITV réalisée a permis de mettre en exergue des fuites sur le réseau d’eaux usées pouvant expliquer les désordres présents sur cette façade. Nous invitons le sociétaire à faire réparer cette canalisation ainsi que les réseaux d’EP traversant le jardin avant. Nous avons également constaté que le réseau était unitaire et certainement non conforme aux règlementations en vigueur. Conclusions de l’expertise sécheresse cat nat Les dommages survenus sur la partie de l’habitation avec sous-sol sont liés à l’absence de drainage des eaux et à un défaut structural de l’immeuble. Les dommages survenus sur la partie de l’habitation sans sous-sol sont liés à divers facteurs : Présence de sols sensibles au phénomène de retrait gonflement des sols, Fondation non hors-gel, Discontinuité structurale, Les dommages survenus sur le garage sont liés à la présence de fondation non hors-gel.

Expertise catastrophe naturelle, Expertise fissures

Contre-expertise suite à une expertise habitation à Champigny sur Yonne 89340

Contexte : Notre cabinet d’expertise sécheresse a été mandaté à la suite d’une déclaration de sinistre Catastrophe naturelle sécheresse. Constatation des fissures Des microfissures et fissures fines subverticales affectent l’ensemble des allèges de fenêtres. Elles prennent naissance dans l’environnement des appuis de fenêtres en béton moulé. Les fissures sur allèges sont dues à la dilatation des appuis de baie et aux résistances plus faibles de la maçonnerie aux angles d’ouverture. De plus il y a une incidence du comportement différentiel des matériaux hétérogènes de la construction causée par variation de température ou d’hygrométrie. Les charges verticales du mur sont déviées au-dessus des ouvertures « arc de décharge » et un cisaillement se produit à la jonction mur/allège. Microfissures et fissures fines au droit des linteaux avec un retour sur les tableaux. Ces fissurations résultent de mouvements de structure qui sont d’origine thermique à la liaison entre matériaux de densité et de compositions différentes entraînant des phénomènes de dilatations différentielles (effet bilame entre béton armé du linteau et parpaing). Au niveau de la zone de glissement se crée une contrainte importante de cisaillement qui est à l’origine des fissures constatées. En outre, et depuis quelques années, les amplitudes de température jour/nuit très importantes amplifient de manière considérable ce phénomène, les variations dimensionnelles d’origine thermique s’étalant sur quelques heures et de manière répétitive contre quelques semaines en temps normal. Des microfissures sont constatées : – sur les cloisons de doublage au droit des jointements des plaques. – Sur les cloisons de distribution en carreaux de plâtre. Néanmoins les plaques de plâtre sont des « matériaux orientés ». Les modules d’élasticité (raideur) d’une même plaque sont différents entre le sens long et le sens travers. Ces modules varient également en fonction des conditions hygrométriques. Les fissures qui affectent les carreaux de plâtres sont liés à des phénomènes de dilatation sous l’action de la chaleur. Fissures fines horizontales et verticales sur mur de clôture Le faciès des fissures « verticales » sur les murets de clôture ne traduit pas un tassement d’une partie de l’ouvrage par rapport à une autre mais des fractionnements liés à des phénomènes de dilatation sous l’action de la chaleur pour un ouvrage de grande longueur réalisé sans un seul joint de dilatation. Pour la fissure subhorizontale nous constatons l’absence de linteau, de poteau raidisseur et de chainage dans l’environnement du coffret EDF. Le caractère déterminant de la sècheresse ne peut être retenu par rapport à ces défauts constructifs. Préjudice – enjeu financier du dossier La réclamation de X € TTC correspond au montant des travaux de réfection des embellissement intérieurs et du ravalement. Cette réclamation fait suite à un devis établi par la Sté G. Cette réclamation n’est pas fondée, l’enjeu du dossier est donc de 0 €. Conciliation des parties Aucune conciliation n’est nécessaire. Nous avons expliqué les causes des dommages et notre position à Mme G qui les a parfaitement comprises et acceptées. Nous avons expliqué les causes de Compte tenu des éléments qui précédent nous vous invitons à classer le dossier sans suite.

Expertise bâtiment, Expertise fissures, Expertise Humidité, Expertise sécheresse

Présence anormale de fissure dans une maison dans l’Essonne 91240

Une présence anormale de fissure a été constatée sur l’habitation de Mme S sans que l’origine ne soit clairement identifiée. S’agit-il d’un phénomène de sécheresse dû à la nature du sol ou d’un défaut d’étanchéité des réseaux enterrés ? Descriptif des techniques de recherche de fuites 1/ Mesures d’humidité Sonde Capacitive: Appareil de mesure destiné à mesurer l’humidité spécifique dans les matériaux. Le principe de mesure fonctionne sur la création d’un champ magnétique de haute fréquence qui traverse en profondeur (+ ou – 8 cm) le matériau. L’unité de mesure est donc le « digit » qui correspond à une conductivité allant de 0 digit à 190 digits. La mesure se fait par comparaison entre une mesure sur une même zone structurelle non sinistrée (Valeur de référence) et sur la zone sinistrée (Valeur constatée). Thermo-hygromètre: Appareil de mesure destiné à mesurer de l’humidité relative (dans l’air) afin de définir le poids d’eau dans l’air pour déterminer le déséquilibre hydrique ou non. Non définissons avec cet appareil, également le point de rosée pour les phénomènes de pont thermique. Caméra Infrarouge: L’analyse thermographique permet de visualiser sur un écran des dégradés de couleur allant du noir/violet (zone la plus froide) au jaune/rouge (le plus chaud). L’objectif est de visualiser les différences de températures invisibles à l’œil humain. Les écarts de températures entre chaque points de mesures est de l’ordre de 0,07°C. Par conséquent la caméra infrarouge permet de tracer des réseaux (chauffage, eau chaude), visualiser la présence d’humidité, visualiser des éléments de structure (poutre, cloison..) et de détecter les ponts thermique, défaut d’isolation etc. 2/ Contrôle des réseaux Système Manométrique digital : Cela concerne tous les réseaux sous pression (Eau froide, Eau chaude, Chauffage, RIA). Pour confirmer que ces réseaux sont fuyards, il faut vérifier s’ils tiennent la charge ou pas. Ce test est plus communément appelé « test de pression » qui consiste à vérifier au manomètre si le réseau garde la pression de façon constante ou si une baisse de pression est constatée signifiant la présence d’une fuite. Gaz traceur/compresseur : Cette technique est combinée à la suite du test de pression et elle consiste à injecter un gaz traceur 10 fois fin que la molécule d’air afin d’amplifier la sortie du gaz au droit de la fuite sur un réseau encastré ou enterré. La particularité de ce gaz est de remonter naturellement à la surface et il est suffisamment fin pour traverser une dalle béton dans la plupart des cas. Caméra Infrarouge : L’analyse thermographique permet de visualiser sur un écran le cheminement des réseaux (chauffage, eau chaude ou eau glacée) ce qui permet d’engager d’autres techniques complémentaires après. Nous pouvons ainsi visualiser si la diffusion thermique de l’eau dans le réseau est uniforme ou si au contraire l’eau ressort anormalement du réseau. Cela peut donc aussi concerner les réseaux d’évacuations dans lesquels de l’eau chaude circulerait. Ecoute électro-acoustique : Cela concerne tous les réseaux sous pression (Eau froide, Eau chaude, Chauffage, RIA) présentant une fuite avérée suite au test de pression et gaz traceur. Cette méthode consiste à écouter le sifflement de la fuite en amplifiant les fréquences de fuites audibles uniquement avec cet appareil afin de localiser le point de fuite. Le bon résultat de cette technique est dépendante 26/28 de critères d’environnement extérieur comme les nuisances sonores, la faiblesse du débit de la fuite, la superposition des matériaux au sol etc. Corrélation acoustique : Cette technique est destinée aux gros réseaux sous pression et sur de longues distances entre un compteur et un immeuble ou réseaux inter-immeuble. Cette méthode consiste à mettre un émetteur/récepteur aux 2 extrémités de la ligne du réseau avéré fuyard. Ensuite les 2 appareils sont programmés pour déclencher des séries de mesures acoustiques en communiquant entre eux afin de déterminer une zone acoustiquement suspecte et dont les caractéristiques correspondent au bruit d’une fuite. Là encore, le bon résultat de cette technique est dépendante de critères d’environnement extérieur comme les nuisances sonores, la faiblesse du débit de la fuite, la superposition des matériaux au sol, la nature des matériaux du réseau concerné. Débitmètre enregistreur électromagnétique : Cela concerne tous les réseaux sous pression confrontés à un différentiel de consommation d’eau entre le compteur principal et compteurs divisionnaire impliquant une surconsommation anormale pouvant être liée à une fuite, un piquage sauvage intermédiaire, erreur de relevés compteur, compteur défaillant etc… Cette méthode est non intrusive et elle est adaptée au cas par cas suivant les contraintes techniques propre à chaque site. 3 Inspection des réseaux ou autre Endoscopie: Cette technique est utilisée pour inspecter visuellement par caméra (17mm ou 6 mm) sur une courte distance une zone difficile d’accès (doublage, sous baignoire, faux plafond etc.) La limite de cette technique provient de sa tête vidéo non directionnelle, d’une distance de 90 cm à 4 ml et d’un éclairage limité. Fibroscopie: Cette technique est utilisée essentiellement pour inspecter l’intérieur des petits réseaux d’évacuations (32,40,50mm) ou coffrage avec la nécessité de pourvoir orienter dans toutes les directions pour un meilleur diagnostic et pour passer aussi des contraintes techniques. La tête vidéo est d’un diamètre de 6 mm à 10 mm sur une longueur disponible est de 3ml à 10ml. Vidéosopie : Cette technique est utilisée pour les inspections télévisée des réseaux d’évacuations (80mm à 250 mm de diamètre) sur des longueurs jusqu’à 40/50ml maximum (sans contrainte, coude, dépôt etc…) Nous pouvons également inspecter des gaines techniques, conduits d’aération, cheminée etc.). Les sondes vidéo sont axiales du diamètre 27mm et 36 mm ou rotative du diamètre 55mm à 78 mm Char Vidéo: Cette technique est utilisée pour les inspections des réseaux ou conduits, gaines ; carneaux de gros diamètres (250mm à 1500 mm) sur des longueurs jusqu’à 400 ml suivants les contraintes de coudes, matériaux, inclinaison. Différents type de chars existent pour répondre aux attentes particulières des clients pouvant nécessiter de zoomer sur un détail pour voir la corrosion, soudure ou pour récupérer un objet ou autre. Observations et tests réalisés : Mesures d’humidité Contrôle des réseaux

Expert d'assuré, Expertise catastrophe naturelle, Expertise fissures

Arrêté de Catastrophes Naturelles à Fontenay-Aux-Roses – 92260

L’assuré est propriétaire occupant depuis 2013 d’un pavillon d’environ 110m2 construit et couvert en matériaux durs sur R+1 étages, le tout édifié sur un niveau de sous-sol semi-enterré. Au sous-sol notons un garage et une chaufferie, au rez-de-chaussée un séjour double de 27m2 et d’une cuisine, et à l’étage de trois chambres, soit un total de quatre pièces principales, ce qui est conforme au contrat souscrit. Le pavillon est mitoyen sur ses façades NORD et OUEST. Une extension a été édifiée en arrière du bâtiment en 1993 et couvre la cuisine et la chambre parentale. La garantie Catastrophe naturelle est acquise au contrat sur bases suivantes : – sur bâtiment : en valeur de reconstruction à neuf limitée à 25% – sur les frais de démolitions et déblais : à concurrence des frais réels justifiés Arrêté de Catastrophes Naturelles faisant l’objet de la présente déclaration : – Arrêté du : 28/01/2020 – Période visée par l’Arrêté : 01/07/2018 au 31/12/2018 Date de la déclaration à l’assureur : Déclaration non communiquée à l’expert Historique des Arrêtés Catastrophes Naturelles concernant le bien sinistré La commune a fait l’objet de 3 précédents arrêtés CATNAT relatifs à la sécheresse et à réhydratation des sols : – Du 01/10/1991 au 31/12/1996 suivant arrêté du 08/07/1997 – Du 01/11/1997 au 31/12/1997 suivant arrêté du 27/12/2000 – Du 01/07/2003 au 30/09/2003 suivant arrêté du 25/08/2004 Il n’y a pas continuité entre les précédents arrêtés et celui du 28/01/2020 au titre duquel le sinistre a été déclaré. Description de l’environnement Notons la présence de fissures datant de 2016 et ne s’étant pas aggravées suivant les dires de l’assuré : deux verticales sous toiture au-dessus de la chambre, une en allège de la chambre et une sur le linteau et en allège de la fenêtre du séjour. Ces dernières sont consécutives d’un mouvement de tassement différentiel des sols n’ayant pas fait l’objet d’un arrêté CATNAT. La société est intervenue pour la stabilisation de la structure avec la mise en place de trois micropieux dans l’angle des façades SUD et EST en début de l’année 2018. Notons la présence de fissurations très légères en allège de la seconde fenêtre du séjour, en lien avec la dilatation des matériaux vieillissants, de la faiblesse de la maçonnerie au droit des ouvertures, des reports de charge et de la dilatation des appuis de baie. Conclusion de notre cabinet d’expertise catastrophe naturelle sur la classification retenue et explication des désordres : Compte tenu de l’ensemble de nos observations, il apparaît que l’événement CATNAT sécheresse de 2018 n’est de toute évidence pas à l’origine des désordres constatés. Nous déposons notre rapport en l’état pour classement sans suite.

Expertise catastrophe naturelle, Expertise fissures

Reconnaissance Catastrophe Naturelle et dommages consécutifs à la sécheresse à AMBERRE – 86110

Maison individuelle avec mitoyenneté, avec étage complet. La vérification du risque fait apparaître des désordres. Sinistre : Arrêté catastrophes naturelles Arrêté catastrophes naturelles faisant l’objet de la présente déclaration : · Publication au Journal Officiel le : 20/10/2018 · Période visée par l’arrêté : Du 01/04/2017 au 31/12/2017 · Date de la déclaration à l’assureur : 30/10/2018 Les désordres dont l’indemnisation est demandée ont-ils fait l’objet d’autres déclarations de sinistres ? NON, selon les dires de l’assuré Historique des sinistres pour le bien sinistré Type et nature des fondations : (profondeur réglementaire ou non par rapport au gel) * Fondations par maçonnerie de moellons (cave ancienne comblée) · Infrastructure : * Infrastructure en maçonnerie de moellons · Nature du plancher du rez-de-chaussée : * Dallage en béton armé sur remblais compactés · Superstructure : * Maçonnerie de moellons recouverte d’un enduit à la chaux · Autres éléments (incidence possible) : (cheminées, extensions, tirants, canalisations encastrées, matériaux composites…) * Cheminée avec insert dans le séjour Charpente : * Charpente traditionnelle en bois · Couverture : * Couverture en tuiles de terre cuite · Menuiseries extérieures : * Menuiseries en PVC double vitrage Plafonds : * Plafonds constitués du plancher haut en bois sur solivage (séjour) * Plafonds en plaques de plâtre grandes dimensions sur ossature métallique (cuisine) et pièces à l’étage · Cloisons : * Cloisons en plaques de plâtres grandes dimensions sur ossature métallique · Doublages : * Doublages en plaques de plâtre grandes dimensions – sur ossature métallique · Carrelages scellés ou collés : * Scellés hormis dans les chambres (revêtement de sol de type PVC) · Système de chauffage : * Foyer fermé Description de l’environnement Topographie du terrain : * Terrain plan Terrain d’assise : * Naturel Selon la carte du BRGM : Localisation exposée aux retraits-gonflements des argiles : OUI Les variations de la quantité d’eau dans certains terrains argileux produisent des gonflements (période humide) et des tassements (période sèche), qui peuvent avoir des conséquences sur le bâti. La commune fait-elle l’objet d’un PPR Sécheresse approuvé ? NON SÉISMES Selon la carte du BRGM : Localisation exposée aux séismes : OUI Degré du zonage : 3 Modéré Un séisme (ou tremblement de terre) correspond à une fracturation (processus tectonique aboutissant à la formation de fractures des roches en profondeur), le long d’une faille généralement préexistante. Relevé des désordres Façade Avant (orientation SUD) : Fissures verticales, jusqu’en toiture. Amplitude de 0,2 à 1,8mm. Décrochement du mur de clôture à droite Façade Arrière (Orientation NORD) : Fissure verticale sur toute la hauteur. Amplitude de 0,7 à 1,2mm. Défaut d’aplomb : – Défaut d’aplomb/désaffleurement : Fissure entre l’angle de la façade avant et le mur de clôture à droite Désaffleurement : – Défaut d’aplomb/désaffleurement : * Remarques : néant Refends : * Absence de fissurations · Terrasse : (partie intégrante de la construction ou non : perrons, escaliers, murs de soutènement, allées, murs de clôture…) * Remarques : Muret de clôture à gauche (privatif-séparatif) présente fissure de décrochement de la façade avant Avis de notre expert sur le sinistre Le sinistre doit être classé comme : Traitement de fissures. A la demande de Monsieur S et de plusieurs voisins sur la même commune, la Mairie de AMBERRE a déposé en préfecture un dossier de reconnaissance Catastrophe Naturelle en vue d’accéder à une garantie contractuelle pour la prise en charge des dommages consécutifs à la sécheresse (période de 2017). Cette sécheresse a été reconnue Catastrophe Naturelle, par arrêté ministériel du 18/09/2018, publié au Journal Officiel du 20/10/2018. Les désordres sont localisés dans la partie extérieure de la maison et affectent principalement les façades avant et arrière. Ils sont bien significatifs de tassements différentiels sous l’assise des fondations suite à la dessiccation des argiles du secteur durant la sécheresse de 2017. A ce jour, ils n’affectent pas la solidité de l’ouvrage et ne génèrent aucun problème de fonctionnement sur les ouvrants. Lors des opérations d’expertise, nous avons pu constater que les mouvements de terrains sont liés à : Des tassements différentiels du sol constituant l’assise des fondations de l’immeuble, consécutifs aux effets d’une sécheresse intense et prolongée, liés au retrait des terrains de nature argileuse. Les tassements différentiels constatés sur le présent sinistre sont dus à la nature et à la profondeur des fondations, les effets de la dessiccation affectant sensiblement les sols situés sous les fondations plus ou moins profondes, et à la configuration technique du bâtiment. Le bâtiment comportant des fondations différemment encastrées l’ampleur de la dessiccation, sous les fondations assises en profondeur est minime par rapport à celle affectant les fondations plus superficielles (présence d’une cave partielle, comblée). Conclusion de l’observation du sinistre Une période d’observation de 18 mois sera à observer après réalisation des travaux en 1ère phase afin de vérifier la stabilisation des désordres, avant de procéder aux travaux de 2ème phase et des reprises du second œuvre. À défaut une étude de sol pourra s’avérer nécessaire avant les réparations définitives.

Expert d'assuré, Expertise catastrophe naturelle, Expertise fissures

Arrêté de Catastrophe Naturelle département de l’Allier

Résidence située à Valigny (03360) . DATE DU SINISTRE : 01/07/2018 DATE DE RECEPTION MISSION : 11/10/2019 DATE DE RENDEZ-VOUS : 22/01/2020 Nous constatons une maison composée de 2 chambres et un séjour avec une cuisine ouverte d’une surface inférieure à 40 m2. Arrêté Catastrophes Naturelles ayant fait l’objet de la présente déclaration : Date de publication au Journal Officiel : 22/06/2019 Période visée par l’Arrêté : 01/07/2018 au 31/12/2018 Avis contradictoire sur la réalité du sinistre : La réalité du sinistre ne fait pas de doute l’assuré n’ayant jamais constaté de fissures depuis son acquisition en octobre 1999 et il est en mesure de le prouver pas des photographies avant sinistre et lors de l’acquisition, puis en octobre 2018 ou l’immeuble était terminé et ou ne voit aucune fissures intérieure ou extérieure. En revanche une série de photographies du 24 octobre 2019 montrent de très nombreuses fissures traversantes bien sur plus visibles de ‘intérieurs en raison de l’enduit utilisé que l’extérieur. La coïncidence des dates démontre que les fissures sont apparues à la même période ou l’arrêté de catastrophe naturelle était pendent devant la commission interministérielle auprès au Ministère de l’action et des comptes publics du 14 mai 2019. L’arrêté de reconnaissance de catastrophe naturelle a été pris le 21 mai 2019 sous référence NOR : INTE1914147A (Jo du 22 juin) la commune de Valigny est concernée. Pour l’ensemble du département de l’Allier, l’arrêté précise : Mouvements de terrain différentiels consécutifs à la sécheresse et à la la réhydratation des sols du 1° juillet 2018 au 30 septembre 2018. En octobre 2017 la maison ne présentait pas de fissures à l’automne suivant l’arrêté de catastrophe naturelle il a découvert l’ensemble des fissures. Situation, urbanisme et géologie : L’immeuble se situe en bordure d’un hameau  il se compose de plusieurs parcelles acquises en deux temps : Tout d’abord les parcelles 35 à 37 comportant le bâtiment puis, à l’occasion quelques parcelles autour (204, 206, 208 et 210) de manière à s’assurer un espace vital et une tranquillité. La commune ne comporte pas de document d’urbanisme (POS PLU Carte communale) elle n’est pas couverte par un SCOT. C’est donc le règlement national d’urbanisme qui trouve application. La carte géologique du BRGM (Info terre) montre très clairement que le site se trouve dans une zone argileuse. La propriété se trouve à proximité  d’un vallon limoneux à environ 250 m, ce qui est très peu à l‘échelle géologique, lit du ruisseau l’Auron, alimentant l’étang de Goule situé plus au nord, zone humide. Cette présence est reconnue comme une prédisposition à ce type de sinistre accentué par un facteur néfaste la présente d’une zone humide à proximité. Cette situation accentue encore les mouvements de sols en cas de changement hydrographique et le phénomène « gonflement – retrait » du sous sol, du à l’alternance entre sécheresse et réhydratation des sols de ces dernières années. Travaux réalisés par le propriétaire : Lors de l’acquisition Mr O. a fait réaliser d’important travaux pour améliorer le confort de cette petite maisonnette ; plusieurs entreprises locales sont intervenues et Mr O. a réalisé une partie de ces travaux  lui-même. C’est ainsi qu’une isolation de la toiture par 20 cm de laine de verre a été posée, la fenêtre de toit et les ouvertures ont été remplacées, les pignons ont été isolés. La plomberie et l’installation électrique ont été entièrement refait ainsi que les revêtements de sol. Des aménagements paysagers extérieurs ainsi qu’un apport de gravillon autour de la maison et des plantations ont été mises en place. Pour l’essentiel, ces travaux ne sont pas de nature décennale et sont sans rapport avec le sinistre (travaux réalisés en 2000 et fissures apparues en 2019). Prise en charge au titre de la garantie « catastrophe naturelle » Le sinistre ne présente aucune difficulté quant à sa prise en charge au titre de la garantie catastrophe naturelle à condition que la Cie d’assurance ne démontre pas une cause extérieure à sécheresse et à la réhydratation des sols. C’est semble t-il l’avis très discutable de l’expert à l’appuie d’une très courte visite du 22 janvier 2020 alors que le sinistre date du 1° juillet 2018, visite absente de toute investigation. Pourtant, la campagne photographique faite le 24 octobre 2919 montre très clairement des fissures récentes orientées de telle manière que les dégâts ne peuvent qu’être attribués à un mouvement de sol. L’orientation de ces fissures, leurs positions à la rupture entre mur et plancher, montrent clairement que ce sont des mouvements de sol qui sont la cause déterminante et principale de ces dégradations. Investigations complémentaires à réaliser : Ce type de construction que nous situons dans le temps dans une fourchette d’un siècle et demi à deux siècles (le bâtiment existe sur le cadastre napoléonien de 1805) est généralement démuni de fondations, de liaisons, de raidisseurs etc. Le système constructif en « tabouret » n’était ni commun ni utilisé. Le mode constructif de l’époque (pierres hourdées à la chaux et bois pour les linteaux) fait que, si le bâtiment doit se fissurer il se fissure la première année, lors des touts premiers mois de sa construction. Or lors de l’acquisition fin 1999, après une visite minutieuse, le propriétaire n’a descellé aucune fissure intérieure ou extérieure. La campagne photographique le démontre. Seule la la fissure verticale à la jonction entre les deux corps de bâtiment est, peut-être étrangère au sinistre du à la sécheresse. Il semble que les deux corps de bâtiments n’ont pas été construits à une même époque ce qui expliquerait l’absence de liaison et l’inévitable fissure verticale qui pourrait s’ouvrir dans le temps. Par contre, une des fissures à l’angle du pignon aveugle dont la direction est oblique (alors que l’expert la représente verticale) est caractéristique d’une fissure due à un mouvement de fondation par tassement tassement ou dilatation. Vue la date de construction on peut éliminer le tassement. A l’intérieurs d’autres fissures d’allure obliques ont été depuis détectées (voir photographies ci-dessus) l’ensemble de ces fissures obliques tendent vers une conclusions dont

Expertise bâtiment, Expertise catastrophe naturelle, Expertise fissures, Expertise sécheresse

Etat de catastrophe naturelle en France en 2019

Suite aux différents événements climatiques intempestifs liés à la sécheresse de ces derniers mois en France, un nombre important de propriétaire de bien immobilier ont été sinistrés par l’apparition de désordres sur leur bien, tels que des fissures, des lézardes ou des affaissements entraînant des inquiétudes, des questionnements, des incertitudes et des risques pour les occupants. Les événements climatiques ont été d’une telle ampleur qu’ils ont sollicité l’attention du gouvernement et entraîné la publication de différents arrêtés de catastrophe naturelle dans plusieurs départements et communes sur l’ensemble du territoire nationale. Des déclarations ont ensuite été établies par les sinistrés, à leurs assureurs multirisques habitations, dans le but de faire prendre en charge les dommages consécutifs apparues sur leur bien immobilier. Cette démarche assurantielle déclenche les opérations d’expertises réalisées par l’Expert missionné par la Compagnie ou la mutuelle d’assurance. L’Expert désigné appréciera les désordres sur le bien sinistré, établira ou pas un lien de causalité entre la sécheresse et les dommages puis déposera son rapport auprès de l’assureur qui lui prendra position sur la prise en charge ou pas du préjudice.

Expertise bâtiment, Expertise fissures

Constatation de désordres sur un ouvrage bâti à La Chapelle Rablais 77370

Objectif de notre intervention : réalisation d’un audit et diagnostics en constatations des désordres sur leur bien immobilier. Mission de notre expert en bâtiment : La mission de l’expert telle qu’elle a été défini par les parties consiste à : Visiter le bien immobilier Auditer et diagnostiquer les constatations des désordres Effectuer un reportage photographique Synthétiser l’audit et produire les conclusions qui en résultent Audition des parties présentes : La locataire vit au rez de chaussée depuis mai 2003, le 24/09/2019 « Début août (2019 NDLR), j’ai constaté l’apparition de fissures sur la façade côté terrasse. Puis j’ai  découvert que le sol de la cuisine avait bougé, j’ai constaté des fissures sur le haut des murs de la  cuisine et de ma chambre. Au départ, j’avais des difficultés pour fermer la porte-fenêtre du séjour, la fenêtre de la cuisine et  de ma chambre. Je l’ai d’ailleurs signalé à mes propriétaires M. et Mme B. Nous nous sommes aussi aperçu avec la voisine du dessus qu’il y avait des fissures dans le sol près de la  cabane de jardin. » Visite et audit des lieux : Immeuble résidentiel contenant 2 logements sur 2 niveaux à La Chapelle Rablais 77370. Assiette foncière figurant au cadastre pour une surface de 900 m². Le bien étudié est un immeuble comprenant 2 logements sur 2 niveaux destinés à la location. Construit en 1985, il est élevé en parpaings, la charpente est en fermette et la couverture en tuiles mécaniques. Monsieur et Madame B n’ont pas en leur possession de documents relatifs à une étude géotechnique. L’objectif d’une étude de sol d’avant projet de construction est de définir la contrainte ou portance admissible d’un terrain. Le résultat de l’étude de sol se traduit à l’aide d’un rapport de mission d’étude géotechnique où il est précisé la faisabilité technique des dallages et des terrassements du projet de construction. Le rapport indiquera clairement le toit d’assise (profondeur) des fondations de la maison qui devra être scrupuleusement respecté par le constructeur. Sur le terrain, plusieurs moyens d’investigation peuvent être employés. Seul un ingénieur géotechnicien sait envisager le meilleur procédé pour un résultat précis : La reconnaissance visuelle : La reconnaissance visuelle peut se faire à l’aide d’un tractopelle ou d’une tarière. Cette reconnaissance permet de rechercher la nature du sous sol,  l’homogénéité du terrain, d’observer les venues d’eau et/ou pollution. La mesure de la résistance du sol : Cette mesure est réalisée à l’aide d’un pénétromètre dynamique. Les sondages de pénétration dynamique permettent de déterminer la résistance  dynamique apparente des terrains traversés. Cet appareil convient parfaitement pour les sols sains et les projets de petites tailles. La mesure de frottement et de calcul de tassement : En fonction de la nature du sous-sol du terrain, il sera employé un pénétromètre statique. Les sondages de pénétration statique permettent de déterminer la résistance de pointe et le frottement latéral unitaire des terrains traversés qui conduisent au calcul de tassement. Le forage avec essais pressiométriques : L’essai pressiométrique permet d’obtenir une relation contrainte – déformation traduisant le comportement mécanique du sol en place. Cette technique s’emploie pour connaître la déformation du sous sol. Elle doit être utilisée pour les sols difficiles. Les essais en laboratoire : Ils permettent de caractériser la nature et la teneur en eau des  sols rencontrés et plus particulièrement de préciser leur argilosité. Constatations des ordres par notre expert Nous avons constaté plusieurs réseaux de fissuration verticaux, horizontaux mais aussi en escalier. Les fissures horizontales suivent le chainage vertical de la maison au niveau du plancher du rez-de-chaussée et du plancher du 1er étage. Les fissures horizontales sont au droit des cadres d’huisseries. Les fissures en escalier se situent au dessus des fenêtres du rez-de-chaussée. Les fissures en  escalier sont dues à une instabilité de terrain ou de l’assise de la construction entraînant des mouvements importants de la structure. Nous constatons à l’intérieur du rez-de-chaussée dans la cuisine et la chambre un tassement du sol au niveau du mur Est de l’ordre de 1 à 3 cm au droit de la plinthe et/ou sous les huisseries. Nous relevons également une désolidarisation des cloisons en tête. Un tassement différentiel est un mouvement d’enfoncement du sol qui n’est pas uniforme. Il peut de ce fait provoquer des dislocations des maçonneries comme l’apparition de fissures en escalier sur des murs composés de parpaings. Même lorsque le sous-sol est assez uniforme, les charges unitaires différentes sur les fondations peuvent provoquer un tassement différentiel très important. Nous constatons également que le bien étudié se situe dans une zone répertoriée par ©Géorisques comme étant en aléa moyen de retrait-gonflement des argiles. Les sols argileux sont très sensibles aux périodes de fortes sècheresses et ils induisent en périodes de réhydratations des phénomènes de gonflements, bien connus et très préjudiciables aux bâtiments sur ces types de sol avec présence d’un tassement différentiel. Nous constatons au niveau du pignon nord des fissures verticales proches du chaînage d’angle. Nous constatons sur la façade Ouest une fissure verticale à la jonction de la maison et du garage. Nous constatons dans la cuisine du logement du 1er étage des fissures dans la cloison séparative et sur les carreaux de faïence de celle-ci. Conclusion de notre expertise en bâtiment et sol Il nous apparait, que les typologies de ces désordres, tel que le réseau de fissurations en escalier présent sur les murs de structure, le tassement de la dalle au droit des plinthes du rez-de-chaussée et la désolidarisation des cloisons en tête, et bien que ceux-ci ne soient pas exhaustifs, mais sont néanmoins très significatifs d’un mouvement généralisé d’une zone de sol qui présente les caractéristiques d’un tassement différentiel. Le classement de l’emplacement du bien étudié par ©Géorisques en aléa moyen de retrait-gonflement des argiles nous fait supposer que les désordres constatés peuvent être la conséquence de la présence d’argile dans le sol, et par extension des phénomènes de sécheresse dont nous sommes témoins ces dernières années. Ces désordres structurels peuvent aussi être à l’origine des fissures verticales relevées sur

Expert d'assuré, Expertise bâtiment, Expertise catastrophe naturelle, Expertise fissures, Expertise Humidité

Assurance catastrophe naturelle et modalités des remboursements

L’assurance catastrophe naturelle couvre les effets du vent, de la pluie, de la neige ou de la grêle et d’autres cas de conditions extrêmes, qui doivent apparaître sur votre contrat d’assurance. Sur la maison : une toiture endommagée, des tuiles arrachées, une cheminée qui s’effondre. Les dégâts causés par des objets projetés sur celle-ci Les impacts de grêle sur le toitures et dans certains contrats aux autres parties de la maison. Les dégâts causés par l’accumulation de glace ou de neige. L’humidité conséquente à une catastrophe naturelle. Vous devez prévenir votre assurance dans les 5 jours, de préférence par lettre recommandée. Indiquez votre nom, le numéro du contrat, la date et la cause du sinistre et une description des dégâts. Premières mesures à prendre après une catastrophe naturelle Rassembler les documents attestant de la valeur des biens endommage (factures, actes notariés). Vous devrez justifier les dommages que vous avez subi, donc : Conservez tous les objets qui ont été endommagés lors du sinistre, même détériorés ou brûlés, Rassemblez tout ce qui peut identifier les biens endommagés ou détruits dans le sinistre (factures, photos, bons de garantie…) Vérifier auprès de votre assurance si elle vous permet de commencer des travaux de remise en état avant le passage d’un expert. Pour contre-expertiser le rapport de votre assurance à la suite d’une catastrophe naturelle, Omega Expert s’est spécialisé dans la contre-expertise d’assurance pour vous offrir l’analyse la plus complète de votre perte.

Retour en haut