Expert en bâtiment

Expert d'assuré, Expertise bâtiment, Expertise catastrophe naturelle, Expertise fissures, Expertise Humidité

Assurance catastrophe naturelle et modalités des remboursements

L’assurance catastrophe naturelle couvre les effets du vent, de la pluie, de la neige ou de la grêle et d’autres cas de conditions extrêmes, qui doivent apparaître sur votre contrat d’assurance. Sur la maison : une toiture endommagée, des tuiles arrachées, une cheminée qui s’effondre. Les dégâts causés par des objets projetés sur celle-ci Les impacts de grêle sur le toitures et dans certains contrats aux autres parties de la maison. Les dégâts causés par l’accumulation de glace ou de neige. L’humidité conséquente à une catastrophe naturelle. Vous devez prévenir votre assurance dans les 5 jours, de préférence par lettre recommandée. Indiquez votre nom, le numéro du contrat, la date et la cause du sinistre et une description des dégâts. Premières mesures à prendre après une catastrophe naturelle Rassembler les documents attestant de la valeur des biens endommage (factures, actes notariés). Vous devrez justifier les dommages que vous avez subi, donc : Conservez tous les objets qui ont été endommagés lors du sinistre, même détériorés ou brûlés, Rassemblez tout ce qui peut identifier les biens endommagés ou détruits dans le sinistre (factures, photos, bons de garantie…) Vérifier auprès de votre assurance si elle vous permet de commencer des travaux de remise en état avant le passage d’un expert. Pour contre-expertiser le rapport de votre assurance à la suite d’une catastrophe naturelle, Omega Expert s’est spécialisé dans la contre-expertise d’assurance pour vous offrir l’analyse la plus complète de votre perte.

Expert d'assuré, Expertise bâtiment, Expertise Humidité

Premières mesures à prendre après un dégât des eaux

Avant tout arrêtez la fuite en coupant l’arrivée d’eau et/ou en procédant à une réparation d’urgence. Rassemblez les documents attestant de la valeur des biens endommages (e.g factures, actes notaires). Vous devrez justifier les dommages que vous avez subi, donc : Conservez tous les objets qui ont été endommagés lors du sinistre, même détériorés ou disloques par l’eau et l’humidité Rassemblez tout ce qui peut identifier les biens endommagés ou détruits dans le sinistre (factures, photos, bons de garantie…). Si vous avez procédé à des réparations ou avez fait intervenir un plombier avant la fin de l’expertise, joignez les factures au dossier. Avant le passage de l’expert d’assurance, vous pouvez obtenir des devis de remise en état des locaux. Vérifier auprès de votre assurance si elle vous permet de commencer des travaux de remise en état avant le passage d’un expert. Sachez que l’assurance contre les dégâts des eaux est obligatoire pour le locataire. Cependant, tous les risques liés à l’action de l’eau ne sont pas couverts. Vérifiez bien votre contrat pour connaître l’étendue de la couverture de ce risque par votre assurance. Si le sinistre provient d’un tiers il existe une procédure simplifiée : le constat amiable, semblable aux constats amiables automobiles. Un feuillet est envoyé à chaque compagnie d’assurance, et en cas de copropriété, un troisième feuillet est envoyé au syndic de l’immeuble.   Pour contre-expertiser le rapport de votre assurance à la suite d’un dégât des eaux, Omega Expert s’est spécialisé dans l’évaluation des dégâts des eaux pour vous offrir l’analyse la plus complète de votre perte.  

Expertise bâtiment, Expertise sécheresse

Diagnostic géotechnique d’un bâtiment sinistré à Maurepas 78

Cette étude rend compte des résultats obtenus dans le cadre d’une mission d’exécution de sondages, essais et mesures en place et en laboratoire et de diagnostic géotechnique d’un bâtiment sinistré (mission G5 selon la norme NF P 94-500 de décembre 2006). Dans le cadre de notre mission et afin de préciser la nature et déterminer les caractéristiques mécaniques des couches superficielles et semi-profondes du terrain, nous avons procédé aux investigations suivantes, en des emplacements accessibles :  2 sondages pressiométriques référencés SP1 et SP2 exécutés à la tarière Ø 63 mm et au taillant Ø 64 mm, descendus à 5,0 m et 10 m respectivement, 11 essais pressiométriques répartis tous les mètres à 1,5 m dans les forages précédents, des essais en laboratoire ont été pratiqués par T. sur les échantillons prélevés au cours de ces sondages : 26 mesures de teneurs en eau et 1 détermination des limites d’Atterberg (liquidité et plasticité) et de la limite de retrait, 1 sondage manuel de reconnaissance des fondations SM3, et descendu à 1,2 m de profondeur, Notre intervention sur le site s’est déroulée les 11 et 12 janvier 2011. Eléments concernant les désordres Lors de notre intervention, les désordres extérieurs consistaient principalement en des fissures horizontales, verticales et obliques concernant plus particulièrement l’angle arrière gauche du pavillon. Ces désordres ont motivé l’intervention de la maîtrise d’œuvre des travaux de réparation. Le terrain objet de la reconnaissance de sols dont il est fait état dans ce rapport est situé à MAUREPAS (78310) au droit de l’entité géomorphologique représentée par le plateau de Trappes. D’après les renseignements en notre possession (carte géologique et études déjà réalisées dans ce secteur), la succession géologique présumée à cet emplacement est la suivante sous d’éventuels remblais : Limons des plateaux Argile à Meulière et calcaire de Montmorency, Sables de Fontainebleau, La nappe phréatique est normalement recelée dans les Sables. Des circulations d’eau sont susceptibles de s’opérer dans les terrains de couverture en période humide, au toit des Argiles à Meulière. Conclusion de notre cabinet d’expertise bâtiment Les résultats obtenus au cours de la reconnaissance de sols menée en janvier 2011 pour le pavillon à 78310 MAUREPAS nous permettent d’aboutir aux conclusions et recommandations suivantes : Les formations argileuses reconnues jusqu’à au moins 5 m de profondeur s’avèrent très sensibles aux phénomènes de retrait gonflement notamment en cas de sécheresse exceptionnelle comme celle de l’été 2009 relevant d’un arrêté de catastrophe naturelle. Ainsi les résultats de nos investigations confirment le caractère déterminant de l’action de la sécheresse dans la survenue et l’aggravation des désordres de la maison à l’instar des nombreuses constructions de la région de MAUREPAS dont les sols de fondations sont constitués de formations argileuses. Les désordres affectant le bâtiment évolueront et s’aggraveront dans le temps puisque la limite de retrait n’est pas atteinte et d’autant plus que les sols pourront également regonfler. Afin de stopper l’évolution des désordres, nous préconisons un confortement de ses fondations, c’est à dire leur reprise en sous-œuvre. La seconde solution qui apparait la mieux adaptée va consister à réaliser sous les fondations actuelles du pavillon des micropieux avec un minimum de 5 m de longueur active dans les marno-calcaires auxquelles seront ainsi transmises les charges de la construction en s’affranchissant complètement des mouvements des sols argileux superficiels. La longueur des micropieux sera donc au minimum de 10 m Les micropieux seront obligatoirement complétés par une longrine de liaison exécutée en sous-œuvre par phases alternées. Pour limiter l’effort de soulèvement du au gonflement des sols argileux lié au retour à des teneurs en eau normales, il faudra prévoir d’interposer en sous-face des longrines soit un coffrage biodégradable, soit un polystyrène épais de basse densité. Les travaux de finition et de reprise des fissures devront être menés en respectant un délai de 10 à 12 mois après la fin des travaux de confortement des fondations, pour permettre à la construction de prendre ses nouveaux appuis avec d’éventuels mouvements d’ajustement. Toutes fois compte tenu de l’ampleur des désordres de la fragilisation et des modifications d’équilibre de la structure, il ne sera pas possible d’exclure l’apparition à plus ou moins long terme de fissures secondaires d’ouverture millimétrique.

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